قدم خیر شیرزن (Lor) ایرانی

La terre du Lorestan a été et est toujours le vivier de grands hommes et femmes, et bien que des qualités telles que le combat, la bravoure et la générosité soient généralement utilisées chez les hommes, les femmes qui possèdent ces qualités au plus haut niveau ne manquent pas ; L'une de ces femmes est "Kadam Khair", qui a une personnalité bien connue et unique au Lorestan, en particulier parmi les personnes âgées et les personnes âgées de cette terre, dans la mesure où de nombreux auteurs-compositeurs de cette terre ont écrit des poèmes à la louange de Kadam Khair sont .

Kadam Khair en 1278 AH dans la région de Lor ( Dukohe ) Il est né au nord d'Andimeshk . Son père est Kadkhoda Qandi ( Kekha Ghani ) Il était l'un des personnages les plus importants et les plus influents de son clan et était célèbre pour son hospitalité, son courage et sa convivialité. .

Kadam Khair était une belle fille téméraire et courageuse et a passé son adolescence dans des conditions Ili et nomades avec ses frères et dans des luttes inter-claniques ainsi que des luttes Ili avec les gouvernements de l'époque. ( Fin Qajar et début Pahlavi ) a passé; La vie nomade au cœur d'une nature vierge et magnifique, ainsi que le courage et la bravoure exemplaires de Qadm Khair, avaient fait d'elle une combattante courageuse et une lionne courageuse, tout en possédant des grâces féminines particulières. Cecil John Edmonds, l'auteur du livre de voyage du Lorestan, écrit à son sujet : "Kadam Khair est la fille de Kadkhoda Kandi et est connue pour sa beauté et sa vivacité d'esprit" . De plus, le verset suivant est écrit pour décrire la beauté et la beauté d'un bon pas :

"Mal Buh Gadm Khair ten kos et Kaveh Cheshiakash, qu'est-ce qu'une bouteille pleine de dix sharave"

retour : La maison du père de Kadam Khair est dans la région de Kos et Kaveh, et ses yeux sont comme un verre plein de vin !

Le courage et la bravoure de Kadam Khair étaient tels qu'il a toujours soutenu ses frères et ses proches dans les guerres tribales et même une fois dans un conflit survenu entre ses frères et l'armée de Reza Khani, les frères de Kadam Khair étaient entourés de forces militaires et en termes de fournitures et de munitions sont dans une situation désespérée, et c'est ici que Kadam Khair à cheval, sans crainte d'être pris dans les griffes des forces militaires, réussit à briser le cercle de siège des forces militaires et à leur livrer des mousquets à eau et des trains de munitions et à les sauver d'une mort certaine .

Parmi les autres choses qui montrent la bravoure de cette lionne, c'est qu'avant l'établissement complet du gouvernement Pahlavi à Khorramabad et ses parties subordonnées, Kadam Khair et deux de ses frères se sont procuré suffisamment de cartouches et de munitions en représailles au conflit sanglant qui a eu lieu. Dans la région de Balagriveh, ils ont été pris en embuscade par des soldats sous le commandement du général de brigade Esfandiari du régiment Mansour, à côté de Sarab Gardab, qui était à l'époque la zone la plus septentrionale de Khorramabad, et les ont désarmés au bon moment. a réussi plusieurs fois et ils parviennent à obtenir le butin des soldats . Dans la description de Kadam Khair, ils ont dit que parfois son comportement courageux et audacieux lui faisait oublier tous les devoirs et caractéristiques d'être une femme ; Le verset suivant, qui est l'un des versets écrits dans sa description, dépeint sa bravoure et sa bravoure aussi magnifiquement que possible. :

"Bon pas, ne sois pas en colère, tu as envie de vomir, tu sais que ce n'est pas heureux."

retour : Un bon pas en descend et a envie de se battre . Aucun carabinier ne l'a jamais vu sur le champ de bataille !

Mme Freya Stark, l'une des touristes étrangères qui ont voyagé au Lorestan et l'auteur du livre de voyage de Lorestan et Ilam et Alamut, écrit sur la bonne étape. : "L'histoire de Kadam Khair signifie une femme . . . Il m'a dit qu'il s'était battu avec le gouvernement il y a cinq ans et a raconté que Kadam Khair était une belle femme mariée à son cousin. . Kadam Khair tirait comme un homme à cheval. .

Le Dr Sekander Amanollahi Baharond écrit dans son livre "La musique dans la culture du Lorestan" dans la description d'une bonne étape. : "Cette femme n'était pas moins mature et courageuse que les hommes dans le tir, la bravoure et l'équitation, et elle était un chef et une bravoure unique pour sa tribu" .

La renommée et la réputation de Kadam Khair ne sont pas seulement dues à sa bravoure et à son courage, mais aussi sa générosité était exemplaire, comme autrefois, due à la générosité et à la générosité d'un Varza ( taureau ) Il donne une chanson à un chanteur et musicien; Le chanteur mentionné chante également une chanson à sa louange en réponse à cet acte bon et précieux .

En 1308 AH et peu de temps après, deux des frères de Qadm Khair nommés Abbas Khan et Baba Khan ont été tués dans un affrontement avec les forces militaires. . Cet incident tragique lui avait causé un grave malaise et une crise mentale, de sorte qu'il s'est isolé . Dans une telle situation, Jalal Khan Valizadeh, qui était l'une des personnes à charge du gouvernement et l'un des propriétaires du nord de Suse, a été nommé par Shahi ( La sœur aînée de Kadam Kheer ) qui est la femme de son père, il demande le mariage d'un bon pas ; Kadam Khair, qui a une forte rancune contre le gouvernement et ses agents, refuse d'accéder à cette demande, mais finalement, avec leurs allées et venues et la pression des aînés de la famille, malgré son désir intérieur, il cède à ce mariage. . . La présence dans la maison de Jalal Khan et les allées et venues de personnes qui étaient naguère les ennemis acharnés de ses défunts frères avaient rendu Kadam Khair plus triste et plus isolé. .

Enfin, cette lionne Ler est décédée à la fin de 1312 A.H. en raison du chagrin de perdre ses frères . Son corps a été enterré dans un cimetière à côté du vieux pont de Dezful . Zinda Yad Ali Muhammad Saki écrit sur cette célèbre dame : « . . . Ceux qui ont vu cette lionne la considèrent digne de nombreuses descriptions et croient qu'ils ont vu moins de beauté avec cette habileté. . Hélas, tout ce talent et ce courage donnés par Dieu ont été gaspillés dans notre pays. . Après la mort de cette lionne, des musiciens indigènes ont écrit des poèmes pour rendre hommage à sa position et à sa dignité ; Y compris ce verset, qui est l'un des versets les plus durables à la louange des bons pas :

"Khadam Khair, Pous Lashet, Velvet, Suede, Parisho Rekhi, quel dommage que tu meures"

retour : bonne étape ! Ta peau est douce comme du velours . C'est dommage que quelqu'un avec un visage aussi désordonné et mignon meure .

Son âme est heureuse . . ./////Hamza Ramin

Sources :

Histoire géographique et sociale du Lorestan, Hamid Izadpanah, Téhéran, Cultural Artifacts Association, 1376

Musique dans la culture du Lorestan, Dr. Sekander Aman Elahi Baharond, Téhéran, Afkar Publishing, 2004

Le livre du Lorestan, par Seyed Farid Ghasemi, Téhéran, Harufiyeh, 1378

Le contexte historique de la musique du Lorestan, Seyyed Mohammad Seifzadeh, Khorramabad, Aflak, 1377

Mahnameh Vahid Volume 41, récit de voyage du Lorestan par Cecil Edmond Kez traduit par le Dr Baharond et Lili Bakhtiar, récit de voyage du Lorestan et Ilam et Alamut par Freya Stark traduit par Mohammad Ali Saki, tous trois mentionnés dans "Lorestan Book"